A Central Park, BiBi aurait bien aimé qu’on lui foute la Paix avec John Lennon, défenseur «anti-conformiste» des valeurs pacifiques et autres fadaises. Tout ce mythe est alimenté par la triste artiste-peintre, Yoko Ono. Sur une des allées de Central Park, un admirateur vétéran rescapé de la Beatlemania, raconte la triste fin du chanteur devant une étoile en mosaïque. Un autre fan photographie la porte de l’immeuble où tout s’est terminé. BiBi, lui aussi, fait la même chose et arme son appareil en suiveur zélé. Pourtant, il avait lu une bio non autorisée du chanteur dans laquelle Papa Lennon avait été décrit comme une personne bien peu recommandable. Le génial compositeur des Beatles avait été odieux tout au long de l’enfance de son fils Julian Lennon, le «généreux» chanteur se bourrait à l’héroïne, du Japon aux Indes et de NYC à Los Angeles et avait été toujours insupportable avec ses admirateurs.
Qu’on honore ses chansons, d’accord, qu’on loue sa subtilité dans sa collaboration avec Paul Mac Cartney, encore d’accord, mais sur les à-côtés, de grâce, Paix à son âme et… à la nôtre.