Merci à Vincent Breton qui, sur le mur de son FaceBook, a traduit cet article du Washington Post qui narre cette expérience vécue à Washington avec un dénommé Joshua Bell, violoniste. Episode à méditer, expérience qui interroge nos points de surdités, nos empêchements à jouir de la Beauté du Monde, qui pose aussi notre rapport social à la Culture. En écho, ce mot de Rimbaud qui, à l’inverse, écrivait : «Je sais aujourd’hui saluer la Beauté».(Une Saison en Enfer).