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Il y a quelques années en arrière, j’aimais bien lire les chroniques écrites d’Arnaud Viviant ou ses interventions acides dans le défunt «Arrêt sur Images» de la 5. J’avais même trouvé dans un vide-grenier son Journal de l’An 2000 («Ego Surf»). Il y parlait beaucoup de l’agitation bien parisienne des camarades socialistes, des nuitées chic de la Capitale et des prestations télévisuelles de nos écrivaillons et vaillantes écrivaillonnes.
J’ai donc relevé quelques pages «intéressantes» sur ce microcosme parisien. Intéressantes et très actuelles. Un «pot-pourri» en somme comme le dit joliment la langue française.