Espérons qu’avec l’arrivée de Syriza une brèche s’ouvre dans le dispositif libéral et dans la puissance jusqu’alors incontestée des Princes de Bruxelles. Bien entendu, l’adversaire sera féroce et fera jouer à fond la désinformation. Puisse pourtant cette petite lueur grecque éclairer les consciences, raviver la flamme et – pourquoi pas – mettre le feu à quelques forteresses.
En attendant, je vous offre mon Journal de la Semaine.