Dans les années 80, j’ai assez souvent regardé l’émission de Bernard Pivot, «Apostrophes». A cette époque, en parallèle, j’étais tombé sur certaines productions de petites éditions littéraires, un peu underground, hélas très confidentielles mais revues ouvertes, libres, offensives, novatrices.
Avec cette lecture qui marchait l’amble, je voyais un écart grandissant entre la Dominante Apostrophes (et son approbation hebdomadaire d’une littérature d’accompagnement) et les Dominés (adeptes d’une littérature rageuse, jamais conforme aux canons de l’époque).
Puis est venue ce matin, le post de @bernardpivot1 sur mon compte Twitter…