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«Au cœur des poèmes d’Homère se trouve le souvenir d’un des plus grands désastres qui puissent s’abattre sur des hommes : la destruction d’une Cité. Sa Cité détruite, l’homme est condamné à errer de par le Monde ou à vivre sur la terre nue, retournant ainsi dans une certaine mesure à la condition des bêtes ». Georges Steiner. Langage et Silence. Editions du Seuil. 1967.