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Vous avez déjà vu par exemple les interviews de Jean-Luc Mélenchon. C’est moins le leader du Front de Gauche qu’il faut alors regarder (et écouter) que ceux qui l’apostrophent. Voyez comment au bout de dix secondes, ces derniers, censés être la crème des journalistes/animateurs se transforment. Prenons le cas Jean-Michel Aphatie : le voilà se métamorphosant aussitôt en teigne, coupant la parole et – détendu, ironique, rictus aux lèvres – savourant son triomphe d’Aristocrate des Médias.
Tout se lit sur ses lèvres : «T’es que de la merde, petit Père du Peuple, tes arguments je les connais, tes trucs ne sont que de l’esbrouffe et du mensonge stalinien. Ouais, on t’a fait venir ici mais je t’avertis, si tu veux t’expliquer sache qu’avec moi, tu ne réussiras jamais à finir tes phrases».
Mais ce mardi, il n’était pas trop question de Jean-Michel Aphatie étonnamment discret ni de Jean-Luc Mélenchon mais de François Bayrou.
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Avertissement : Envers Cécilia Attias, je n’ai aucune animosité. Je trouve même que son geste d’avoir quitté un homme comme Nicolas Sarkozy est plutôt – vu de l’extérieur – un signe de courage.
Dans un vieux billet, j’avais aussi relevé par quel hasard, l’ex-première Dame de France, encore gamine, avait été engagée par Claude Chabrol pour son film («L’œil du Malin»). C’était en effet via son père tsigane Aron Chouganov qui avait francisé son nom en «Ciganer» (traduction de…«Tsigane»). J’avais alors essayé d’imaginer quelle sorte de discussion le couple Nicolas/Cécilia avait eu autour de la question d’alors des expulsions d’étrangers. Défense de rire.
Mais ne perdons pas notre temps : là n’est pas mon sujet du jour. Voici donc l’histoire…
Au hasard, des petites nouvelles pêchées dans ce qu’ils disent être «L’Actualité». Ajoutez-y quelques Tweets-BiBi à l’instinct pour égayer votre fin de semaine. Et tout cela tiré de ce Monde sans pitié qui va mais on ne sait trop où.
L’affaire Depardieu est un contrefeu, de ces contrefeux dont usait et abusait Nicolas Sarkozy. Cette fois-ci, j’ai bien l’impression que ce sont les amis objectifs du nouveau Pouvoir en place qui nous l’allument. Et je rejoins les propos de mes amis subjectifs que sont Michel et Monique Pinçon-Charlot déclarant ce jeudi matin sur France-Inter : «Gérard Depardieu est l’arbre qui cache la forêt».