- Il y a la justification de Polanski de ne pas se rendre aux Césars : « Je dois protéger mes…. enfants ».
- Il y a ces gens qui applaudissent sa nomination en tant que meilleur réalisateur aux Césars 2020. Et il y a des Adèle Haenel et des Virginie Despentes.
- Il y a, dans le même temps, la disparition de la critique de films avec ces prédateurs qui ont dévoré Les Cahiers du Cinéma dans l’indifférence générale.
- Il y a Jean Dujardin qui veut se barrer, décrétant que la France pue. Hé bien, casse-toi pôv’ con !
- Il y a Isabelle Huppert, habituée des fashion week, qui se drape dans le non-jugement, aphorisme du grand Faulkner à l’appui, plaignant le… lynchage de son grand ami Polanski.
- Il y a le silence des jeunes loulous de Checknewsfr qui refusent de divulguer le montant en dollars de leur soumission 2019 à FaceBook.
- Il y a l’ordinaire à France Inter où le très féministe Augustin Trapenard blablate avec Macha Méril réduisant les Municipales parisiennes à Hidalgo-Buzyn-Dati censurant la présence de Daniele Simonnet.
- Il y a les sondages qui continuent de nous enfumer. Avec les Brice Teinturier (IFOP) et le DSK Boy, Gaël Sliman (Odoxa)
- Il y a toujours le silence de Nathalie Loiseau et la galère de la lanceuse d’alerte Françoise Nicolas qui a toutes les preuves sur les agissements de la groupie LREM.
- Il y a dans le débat à l’Assemblée, cette députée LREM qui argumente en criant tranquilou : «Nique ta mère», «Toi tais-toi ou je t’en colle une»
- Il y a la journaille de France Info épousant la langue du Pouvoir interrogeant le cheminot CFDT : «Est-ce que vous en voulez à ceux qui effectivement ont fait obstruction au texte ?»
- Il y a les pleurs sur la disparition de ce bon et rigolo Michel Charasse.
- Il y a Rachida Dati qui veut un «Paris tout propre» oubliant ses sales affaires.
- Il y a ce flic qui hurle au manifestant : «Viens tout seul, enculé, viens !».
- Il y a, en France, toutes ces insultes des Grands Medias sur Bernie Sanders.
- Il y a tous ces enragé(e)s qui n’en peuvent plus devant la diversité incontrolable des réseaux sociaux et qui réclament la répression à s’en étouffer.
- Il y a, dans cette peur de la caisse de résonnance que sont les réseaux sociaux, Caroline Fourest de Marianne, dévastée « devant ces meutes numériques » qui « se déchainent de façon hystérique ».
- Il y a Apolline de Malherbe de BFMTV, la Chaine de l’évasion fiscale, qui va se reposer dans le Château de Papa, épuisée par sa prestation contre Juan Branco. Un château restauré à nos frais.
- Il y a l’annonce de la fin de l’émission de Laurent Ruquier («On N’est Pas Couché») qui a donné leur chance à trois crétins pendant toutes ces années : Zemmour-Moix-Angot.
- Il y a toujours ce Zemmour qui travaille au journal gavé d’argent saoudien qui chouine sur l’Institut Arabe financé en partie par les pays du Golfe.
- Il y a Didier Guillaume, Ministre LREM de l’Agriculture, qui arrache le micro d’un journaliste car la question ne lui plait pas.
- Il y a Lagardère embauchant le pauvre Sarkozy à son Conseil de Surveillance.
- Il y a Hortefeux et ElKabbach qui papotaient tranquillement pour préparer questions et réponses avant interview.
- Il y a Paul Greffe, militant LREM, qui compare la députée écolo, élue de la République, Esther Benbassa à une grosse vache.
- Il y a le Modem/LREM Nicolas Turquois, député de la 4ème circonscription de la Vienne qui nous raye du cadre républicain : «La République, c’est nous et vous, vous n’êtes rien».
- Il y a à Limoges le responsable regional CFDT-Limousin, Eric Brunie sur la même liste que Monique Balestin, tête de liste LREM.
- Il y a ces insupportables LREM, ex-PS, qui changent d’avis en des temps records. Ici le Ministre de la Culture, Frank Riester.
- Il y a à Vichy, Frederic Aguilera, candidat à la Mairie qui cache son appartenance LR sur son programme et ses affiches et qui offre des places de choix aux LREM.
- Il y a Jacques Maire, fils d’Edmond Maire, co-rapporteur du projet de loi sur les retraites qui détient 358.935 euros de parts chez AXA, l’assureur grand bénéficiaire de ladite réforme.
- Et il y a Julian Assange qui, sur le seul 24 février dernier, a été menotté 11 fois, déshabillé onze fois et placé dans 5 cellules de détention distinctes.