La presse minoritaire restera toujours minoritaire, non par la volonté très chic de l’être mais parce que le libéralisme crie toujours plus haut et plus fort. BiBi aimerait bien porter le slogan de Fakir «C’est nous qu’on va gagner» au sommet. Seulement, BiBi ne prend pas son désir pour le Réel : hélas, les lendemains ne chantent pas, le Capitalisme n’est pas forcément à l’agonie et la Victoire n’est pas pour demain.