La misère, les fins de semaine difficiles, la Solitude, le désespoir sont le quotidien de bon nombre de français. Lorsque les Médias ou les politicards en parlent, on entend résonner les honteux et obscènes qualificatifs d’ «assistés», de «fainéants» (sous-entendu : «Salauds de pauvres»). Emmanuel Macron, promoteur de la loi scélérate du même nom, se permettait de dire «Si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre, j’essaierais de me battre d’abord» sans être contredit.
Voici des chiffres qui ne sont pas mis sur la place publique. C’est que ça ferait du tort à nos Gouvernants néo-libéraux, socialistes frondeurs ou non. Voici des chiffres qui renvoient à la brutalité de ce Monde, à tous ces faux-semblants et maquillages idéologiques qui s’empressent de les dénier, de les cacher, de les euphémiser, voire de les justifier. Des chiffres terribles qui crient l’injustice et appellent à la révolte et à la révolution permanente.