Dans un de mes premiers billets mis en ligne ici (en 2008), j’avais dit mon admiration et ma reconnaissance à Jim Morrison et à ses travaux poétiques et musicaux. Sans faire de jeux de mots, il fut un des artistes qui m’ouvrit des… Portes. Sous le titre un peu accrocheur/raccoleur («La Dernière Photographie de Jim Morrison»), je présentais mon propre rapport à ce qui fut une belle ouverture (les musiques et les textes de Morrison). Nous étions dans les années 70 et – avec les découvertes de Dylan et de Léonard Cohen (surtout) – je vivais musicalement sur un petit nuage.
HERVE MULLER, rédacteur de la revue Best (que j’achetais assez régulièrement), avait raconté sa rencontre avec le leader des Doors dans un livre que je m’étais empressé d’acheter («Jim Morrison – Au Delà des Doors» chez Albin Michel/R&F, paru en 1973). Hervé Muller m’a fait parvenir ce commentaire que je reprends ici en billet. Il y apporte ses corrections bienvenues… corrections que je fais suivre d’une réponse-BiBi.