(Seconde partie de ce billet voyageur).
BiBi reprendrait bien à son compte cette phrase qui fusa de la plume de Georges Haldas : «Mais vraiment, vraiment, on ne sait plus parfois quel chemin prendre. Cependant qu’on continue dans la nuit de marcher». Mais les nuits ont aussi leur fin : elles laissent alors leur place aux petits matins. C’est donc à l’aurore que BiBi sut enfin où il avait mis les pieds.