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Une semaine de Propagande.

Victor Deni (Capital)

Little Nikos n’a pas résisté.
Little Nikos, très sensible aux attaques de BiBi sur sa prestation dans le film de Gilles Perret («Walter en résistance»), a tenté maladroitement de rectifier le tir en prononçant des louanges sur le Programme du Comité National de la Résistance. Bien aidé par Bernard Accoyer qui, dans ce même film, fit preuve d’une ouverture d’esprit remarquable au dialogue démocratique par des menaces, Little Nikos est venu nous dire que le Programme du CNR «a su rassembler toutes les forces politiques pour forger le pacte social qui allait permettre la renaissance française». Aveu non de force mais de faiblesse. Trop tard pour les deux compères : ils auront beau faire, ils seront à la remorque et à la remarque de BiBi et de ses amis maquisards. Voir article : Le Plan-Séquence qui ridiculise Sarkozy. Mercredi 25 mars 2009

Patrick Issert fait Equipe avec Rama.
Patrick Issert, toutou de la Garde Amaury et journaliste à l’Equipe, prolonge le mythe Rama Yade dès les premières secondes de sa nomination : «Il y a donc fort à parier que la langue de bois, cet esperanto du Monde politique, devrait donc épargner quelques temps encore le Monde du Sport». BiBi s’est demandé pour quelle raison, le Toutou (is)sert la soupe. En relisant le début de l’article, BiBi a la réponse : c’est pour remercier Rama d’avoir donné l’info de sa nomination à l’Equipe.fr en exclusivité. Eddie Mitchell avait une chanson pour ça : «Lèche Botte Blues ».

Internet, Libé, France-Inter brisent le Silence de mort sur la «grotesque» affaire des rétro-commissions. 11 morts à Karachi : 11 morts qui commencent à parler.

Bon Anniversaire DSK !
Si vous voulez comprendre pourquoi le PS est au point zéro, détaillez les invités de DSK au restau des Buttes-Chaumont pour son soixantième anniversaire. Ni Jospin, ni Ségolène ne sont là, remplacés par Elkabach, Alain Minc, Claude Allègre.

Michel Drucker et sa nièce Marie ont concocté ensemble une émission « Voyages en Méditerranée» sur une chaine publique. «Avec Marie, nous sommes partants pour d’autres émissions» nous dit Michel. Il ne cache pas sa joie ni sa fierté de partager l’antenne en famille. Pour Michel, la Famille est surtout politique : les invités sont Claudia Cardinale la Chiraquienne, Henri Guaino, Maud Fontenoy qui a ramé la veille avec Little Nikos au mariage Agostinelli, Yann-Artus Bertrand qui tutoye notre Président, Gad Elmaleh (rigolo de droite) et Enrico l’Archange de la Paix au Moyen-Orient. Rajoutons que ce dimanche, Michel aura un invité de marque, sportif préféré de Chouchou : Lance Armstrong.

Pour la Mascarade Annecy 2018, l’argent coule à flots. 850 collégiens de Haute-Savoie (dont le collège de Semnoz) ont été amenés sur le Pâquier d’Annecy dont on veut nous faire croire qu’il sera l’endroit où se déroulera la Cérémonie d’Ouverture des JO 2018. Tee-shirts, spectacles, interviews, caméras-télé, double-page du Dauphiné, on avait sorti tout l’arsenal. «Ils ont le regard tourné vers 2018, dans un ciel plein de promesses» écrit le journaleux du Dauphiné.
A la rescousse, Aimé Jacquet qu’on a connu plus fin, avouera : «Je me sens un intrus dans cette histoire. Mais comme je suis entouré de sportifs, d’un autre côté, je me sens bien».
Christian Montheil, lui, a évoqué le budget. Enfin ! «15 millions d’euros sont nécessaires de…2009 à… 2011 – date de l’avant-dernière désignation». Sur l’avant, mystère. Sur l’après, mystère. Si Annecy est éliminé en 2011, BiBi invitera Monsieur Christian Montheil à venir expliquer à quoi aura servi cet argent gaspillé. En attendant, 15 millions d’euros, 15,  pour une partie de poker-menteur. La Ville de Corée ou Munich ont les larges faveurs des Pronostiqueurs.

Antoine Bernheim, l’ami fidèle du Président.

   Tonio

Little Nikos veut faire populo, il dénigre le Capitalisme financier avec son salaire en or et une véhémence de Grand Rebelle. Cependant il oublie de dire qu’en chemin, il a rencontré l’argent – celui d’ Antoine Bernheim par exemple – pour faire son bonheur

Ce Monsieur est au top de la Grande Finance (troisième assureur de l’Europe des Travailleurs). Peu de journalistes pour aller poser un micro et l’interviewer. Pourtant, il en aurait des choses à dire sur la Crise du Nouveau Capitalisme.
Antoine Bernheim est le Patron français des Generali et il a un sacré réseau. Bien entendu, comme tout homme du réseau, il dit ne pas en avoir. Tonio pour les intimes a constitué son fabuleux carnet d’adresses à la Banque Lazard. Citons ses vieilles connaissances : Hubert Heilbronn, administrateur de la filiale française des Assurances italiennes,  François Voss, membre de l’Automobile Club de France au siège de laquelle se tiennent les réunions du Siècle (voir Articles de BiBi sur « Les affaires du Siècle »). Le bonhomme, bon pied, bon œil a toujours eu un faible pour Jean-Marie Messier, l’homme de Vivendi qui montrait ses chaussettes trouées sur un cliché de Paris-Match, pour Bernard Arnault (Tonio est toujours vice-président du CA de LVMH), pour François Pinault ( il l’a aidé à acquérir les magasins du Printemps) et surtout pour Vincent Bolloré dont le père, Michel, était, avec Tonio, élève à Janson-De-Sailly. Aujourd’hui, les meilleurs potes d’Antoine, sont ceux du fils, principalement au sein du Salotto Buono, c’est-à-dire de l’Aristocratie financière italienne. 
Antoine veut une paire de chaussures ? Il téléphone à Diego della Valle, patron de Tod’s. Il veut un placement en Espagne ? Il écrit à Ana Patricia Botin, présidente de la banque espagnole Banesto. Il veut visiter la Cathédrale de Milan ? Il s’adresse aux banquiers de Mediobanca ( Enrico Cuccia, Vincento Maranghi, Laurent Dassault). Gilberto Benetton, lui, lui offre des pulls pour cet hiver rigoureux et Giancarlo Cerruti, pantalons, vestes, chaussures et parfums.
Si Antoine veut parler français, il trouvera Jean-Philippe Thierry, président des AGF mais aussi Jean Azéma, boss de Groupama. Si le troisième et le quatrième au bridge viennent à manquer, voilà que rappliquent Claude Bébéar (Generali a longtemps été deuxième actionnaire d’AXA) et Patrick Wajsman, éditeur de la revue Politique internationale. Sans oublier la remplaçante, Odile Jacob.
Monsieur Tonio n’a évidemment jamais fait de politique. Il ne traîne pas dans les meetings populaires, n’a jamais mis les pieds à l’Assemblée. Il fréquente plutôt pieusement les allées du Vatican et rend souvent visite à son ami le patriarche de Venise. Il aime s’aérer sur les greens du golf de Morfontaine.
En politique, mis à part les Bolchéviks, il aime tout le Monde : feu Pierre Messmer et feu Raymond Barre (ancien administrateur de Generali) étaient ses amis d’hier mais Tonio a aussi de très bonnes fréquentations aujourd’hui : DSK, les grandes figures révolutionnaires comme Laurent Fabius ou Jean-Paul Huchon. En Italie, Silvio Berlusconi et Romano Prodi viennent souvent le consulter à Trieste dont il est Citoyen d’Honneur.
Antoine Bernheim est un homme très ouvert sur la Culture – comme tout Boss qui se respecte – (Nous ne sommes plus dans le Siècle où l’on chantait « Les Bourgeois, c’est comme les cochons… »). Il aime bien le foot et son amour du sport l’a poussé à engager Zidane et son image pour gagner la partie.
Une de ses dates-fétiches restera ce 22 octobre 2007 où il fut promu au grade de Grand-Croix (comme Marcel Dassault). Cette distinction l’excita comme une puce. Cet honneur est très recherché puisqu’ils ne sont que 75 décorés. C’est évidemment Little Nikos qui lui a remis les insignes. Notre Président fut éternellement reconnaissant à Tonio de l’avoir poussé à poursuivre son combat politique après la déculottée balladurienne. Little Nikos voulait se reconvertir dans les banques d’Affaires mais le Messager de Trieste lui aurait sussurré : «Nicolas ! Tu as encore d’importantes missions à accomplir ».
Il parait que Tonio n’aime pas trop que les journalistes rappellent son âge. BiBi ne dira même pas que notre homme rentre dans sa 85ième année et que la Banque et les Assurances, finalement, ça conserve.

Les amis de BiBi aiment aussi :

Petite visite dans la Blogosphère.

BiBi visite la blogosphère.

1. Dans son article du 25 octobre (« Les défaillances de la Justice »), Jean-Michel Aphatie réussit ce tour de force de ne pas citer une seule fois le nom de Rachida Dati. BiBi est admiratif ! Le grand journaliste du Grand Journal s’escrime sur les ratés de la Justice et s’érige en donneur de leçons. « On peut rester coi devant le sentiment d’impunité qui se dégage de la marche de la Justice » écrit-il. Il y a quelques années, sous la Gouvernance I du Cavaliere Berlusconi, l’opération « Manu Polite » ( Opération Mains propres, enquête du pool de juges anti-mafias ) avait fini ainsi : de petites défaillances de l’Institution judiciaire, une certaine presse avait vite fait, très vite fait de conclure à : « Juges, tous pourris » http://blog.rtl.fr/

2. Le charmant Nicolas ( si, si, ça existe) a brocardé BiBi dans un article de son blog«Partageons mon avis », premier blog politique dans Wikio. Dans le titre d’un autre article, il avait auparavant traité une certaine Laure de « Connasse blogosphérique ». Et ce, certainement pour faire avancer le débat démocratique (ce charmant Nicolas a de nombreux amis sur sa gauche). Ces non moins charmants supporters ne trouvent cependant rien à redire sur ces insultes peu glorieuses.
BiBi, lui, s’est fait fait voler dans les plumes en étant traité de « Canard », échappant de peu à… Connard. Ce charmant Nicolas doit manquer d’humour : il aurait pu – à l’instar de son glorieux et charmant homonyme –lâcher simplement :«Casse-toi pauv’ con !»http://jegpol.blogspot.com/

3. So Foot, le site de football apprécié de BiBi, précise qu’à « la suite de nombreux abus, le forum est fermé et n’est plus accessible à personne pour une durée indéterminée ». BiBi qui y intervenait souvent en est tout marri et espère qu’avec ses lecteurs, le forum So Foot s’ouvrira à nouveau – même pour un contrat à durée déterminée. (www.sofoot.com)

4. Le blog de Clémentine Autain ( www.clementineautain.fr) nous indique plusieurs interviews très intéressantes de Luc Boltanski le sociologue qui a écrit un livre si décisif pour expliquer les discours des Managers des années 90-2000. Les entretiens se donnent à voir et à entendre sur le site de la revue indépendante Contre-Temps, accessible à partir de cette adresse : http://contretemps.eu. Luc Boltanski et Eve Chiapello avaient écrit « Le Nouvel Esprit du Capitalisme » ( NRF Gallimard). Aujourd’hui, le Sociologue sort un nouveau livre : « Rendre la réalité inacceptable, Paris, Demopolis, 2008. ». Surement très précieux pour affûter ses armes dans le climat impitoyable de la Guerre économique.

5. Sur son blog, (abadinte.canalblog.com/) Abadinte conseille gentiment à BiBi d’arrêter absolument de lire le Journal du Dimanche du Frère Lagardère. Quoi ? Tailler la route en abandonnant lâchement ce pauvre Claude Askolovitch sur le bord du chemin ? BiBi pratique la politique de la main tendue et du poing levé (et c’est vrai… de temps en temps, la politique du coup de pied au c…).

6. Sur le blog de Jean-Christophe Cambadélis (cambadélis.over-blog.net), le député de Paris se réjouit du blanchiment de son ami de premier rang DSK. C’est bon, écrit-il, « pour la gauche, pour la France, pour le FMI ». Rien de moins !
Le post de BiBi déposé sur son blog n’a pas fait écho. Il y parlait brièvement mais précisément des réseaux du « Julio Iglésias de l’Economie» ( Le siècle, le Club Vauban, A gauche l’Europe) et de ses nombreux amis prolétaires. Mais…chuuutttt !
« The sounds of silence » : BiBi connaît la chanson.

7. Dans ce monde un peu noir, colorons le paysage avec le site de Polarnoir (http://www.forum.polarnoir.fr) où il fait bon s’accouder au comptoir. Amateur de Séries Noires qui sont pour BiBi l’équivalent de contes de fées, BiBi recommande le site. Et c’est un peu triste qu’il vient d’apprendre le décès de Tony Hillerman (83 ans), mort à Albuquerque. Ce romancier écrivit nombre de polars qui se déroulaient dans la tribu des Navajos.

Les Aventures de DSK (1).

MOSK, Claude et DSK

Que les lecteurs de PensezBiBi se rassurent : pas de révélations fracassantes, pas de pipolisation du site, pas de pensées insolites sur le dragueur invétéré de DSK, le « Julio Iglesias de l’Economie » comme le qualifia naguère un de ses partisans. Pour BiBi, les aventures de Monsieur Dominique Strauss-Kahn ne se jouent que sur la scène bien plus palpitante du Politique et de l’Economique. BiBi a donc tenté de comprendre comment cet homme là était parti à la conquête… du Top de la Finance mondiale.

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Pour les débuts de la recherche, rien de tel pour BiBi que d’ouvrir le JDD de ce dimanche 19 octobre, pages 2 et 3, de lire les deux articles de Claude Askolovitch (photo du centre), le bon copain de Frère Lagardère.

Déjà le 28 septembre, ce même Claude avait offert un espace DSK sur une belle double page à son cher copain-coquin avec un interview sur la Crise. Le JDD de ce dimanche verse dans le dithyrambe rarement vu à ce niveau : « En France, l’opinion a retrouvé le DSK magnifique, le seul économiste capable de rassurer au cœur de la tempête… »  » Un économiste doué pour le bonheur » ou encore « un magicien de la communication économique », «  un socialiste moderne » très jalousé, « le trop heureux Dominique fait figure de pôle de stabilité » «  le seul politique qui gèrerait mieux la crise mondiale que Little Nikos », c’est dire !

Deux silences assourdissants pourtant dans le panégyrique de ce grand journaleux :
1. Claude tait les casseroles de DSK.
2. Claude fait silence sur son réseau patiemment construit depuis son entrée en politique.
Pour les affaires, rappelons que DSK a été blanchi sur l’affaire du dossier fiscal de Karl Lagerfeld. Au terme d’une transaction conclue au mois d’août 1999, M. Lagerfeld avait en effet vu le montant de ses redressements réduit de 93,5 à 43,3 millions de francs.
On retrouve le « magnifique » Dominique au cœur de l’épisode de la cassette de Jean-Claude Méry via Alain Belot qui fut à la fois avocat du couturier et… ancien conseiller de DSK
Mis en examen en janvier 2000 pour « complicité et recel d’abus de biens sociaux » dans l’enquête sur la société Elf, DSK s’est vu reprocher d’avoir fait salarier en 1993 sa secrétaire, Evelyne Duval, par une filiale suisse de la société pétrolière, Elf Aquitaine International, pour un montant total de 192.000 francs. Il obtiendra un non-lieu.
L’enquête de la MNEF démarre sur une rémunération de 603.000 francs perçue en février 1997 par DSK qui sera poursuivi pour faux et usage de faux pour avoir antidaté des documents justifiants son rôle dans les négociations entre la MNEF et la Générale des Eaux. DSK reconnaîtra avoir commis une « erreur » de date dans les documents qu’il a fournis à la justice. « Mon rôle était de montrer à la Compagnie générale des eaux (rebaptisée depuis Vivendi) qu’elle avait besoin d’un partenaire pour intégrer le marché des mutuelles. J’ai essayé de faire en sorte que l’affaire puisse se faire. » Non-lieu dans cette affaire.
Ce que le public sait moins, c’est combien on joue de la solidarité familiale chez les Strauss-Kahn. Le frère cadet, Marc-Olivier Strauss-Kahn dit « MOSK » (photo de gauche), le numéro quatre de la Banque de France (BDF) partit rejoindre Isabelle, son épouse, partie en mai 2007 à Washington à la Banque mondiale grâce à l’approbation efficace de Little Nikos et de Christine Lagarde. Depuis le 14 mars dernier, il y est en tant que « représentant en Amérique de la Banque de France, localisé comme + Visiting Senior Adviser + au Federal Reserve Board à Washington ». Il y cumule un poste d’administrateur à la Banque interaméricaine de développement (BID), une discrète organisation internationale basée à Washington et un strapontin au conseil d’administration de l’Institut d’Emission des Départements d’Outre-Mer et de l’Institut d’Emission des Territoires d’Outre-Mer (2 instituts dépendant de la Banque de France). Il y obtint en toute légalité 160 000 € d’émoluments annuels, environ 150 000 € d’indemnité d’expatriation, une confortable enveloppe de frais de représentation ( le frérot demande 50.000 euros  par an), le tout entièrement défiscalisé.
La suite des aventures ? Eh bien, lire l’article suivant…

Les Grands de ce Monde.

Le Pape et Bernadette.

BiBi a écouté très religieusement le Pape BENOIT XVI pour qui « la voie de l’Amour demande maturité, qui n’est pas immédiate mais qui comporte un dialogue, une écoute réciproque et une maîtrise singulière de la pulsion sexuelle dans un chemin de croissance dans la vertu ». Que Benoît se rassure : BiBi l’a suivi sur (presque) tout sauf qu’il a encore un peu de mal avec… « la maîtrise singulière de sa pulsion sexuelle ».

Premier avril avant l’heure : JEAN-CLAUDE JUNKER dit avoir pour les banquiers une « considération proche de zéro » dans une interview à La Croix. Que ne l’a t-il dit du temps où il applaudissait le lauréat de la Fondation Edmond Israël, premier Président de la Chambre de compensation Clearstream, grande amie des banques et des banquiers ?
Et que ne l’a t-il pas claironné à ce banquier proche du zéro qu’était le Gouverneur de la Banque Mondiale ? Et à ce Gouverneur du Fonds Monétaire International ? Et encore à ce Gouverneur de la Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement ? Celui qui a deviné de qui il s’agissait pour ces trois derniers sera plus proche du 20 sur 20 que du zéro ! La réponse exacte ? Trois fois… Jean-Claude JUNKER !

Madame CHIRAC Bernadette est restée très combative et magnifiquement altruiste. Elle poursuit  la promotion de la douzième édition de la Campagne « Plus de Vie » grâce à sa Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France qu’elle préside.
Fondation qui subit depuis août un premier contrôle de la Cour des Comptes dont le premier Président-Inspecteur n’est autre que… Philippe Seguin ! BiBi se demande si ce cher Philippe ira jusqu’à enquêter jusqu’aux coffres-forts japonais d’un autre Président ?

FRANCOIS PINAULT (propriétaire du Point) et NONCE PAOLINI (TF1) : Le Point avait publié sur son site Internet « La dégringolade de Laurence Ferrari ». Nonce, très mécontent de cette annonce téléphona à François qui téléphona à ses soldats Michel Colomès rédacteur et Olivier Bruzek, responsable du site. Article aussitôt retiré. Si jamais BiBi reçoit au téléphone Nonce ou François, il n’effacera pas de son écran son article « Les Ratés de la Ferrari ». Non mais !

Anne SINCLAIR : on la croyait disparue mais elle est de retour en page neuf du JDD. Frère Lagardère, DSK et Little Nikos ne sont évidemment pour rien dans la parution de ses Carnets… d’adresses ! Et les rencontres du mercredi au siège du « Siècle » non plus ( voir les 2 articles de BiBi sur « Le Siècle » et ses connivences du 2 juillet 2008).