Nous ne nous connaissions pas de visu. Nous n’étions pas toujours d’accord (il était socialiste du PS et moi, je… je…) mais il y avait un feeling, une tonalité dans nos quelques échanges qui nous ont fait du bien. Il tenait le blog du Coucou de Claviers et s’appelait Jean-Louis Fraysse. Début de 2010, je lui avais écrit pour lui dire une certaine lassitude de mon écriture sur blog et je l’avais questionné sur les deux écritures qu’il menait de front avec un certain bonheur. D’un côté le blog, de l’autre son écriture littéraire. Face à ma lassitude, il avait répondu lucidement en pointant aussi son «découragement» momentané.
Mais nous savions tous deux que la Vie l’emporterait.
Sache cher Coucou que, tout là-haut, nous poursuivrons notre conversation inachevée.