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Lever les zones d’ombre et de censure de plus en plus vastes, remettre en lumière le non-dit sur les «Chiens de l’Enfer» dont parle René Char. C’est via les cours retranscrits dans un Cahier de Morale par un écolier des années 1940-1944 que j’essaye de donner idée de ce que fut la Propaganda pétainiste qui ouvrit grand les bras aux Chemises Brunes nazies. Aujourd’hui, on a la mémoire courte, on laisse dire et on cuisine les quenelles sans objections, on accueille Marine avec des sourires gênés, on discute à mieux mieux de ses «arguments», on érige des Unes à son profit. Exemple : Hier, France-Inter…
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Parler, raconter des histoires, en faire, lancer des sentences à la volée, entre Almanach Vermot et Rigueur scientifique, tout cela fait du bien. Mais ce bien-là est-il suffisant ? En effet, nous parlons souvent pour ne rien dire. Souvent aussi, nous parlons, parlons, parlons pour ah la la commencer enfin à… dire. Très souvent encore, parlons-nous pour ne pas avoir à dire, pour cacher des choses, se cacher (ou à l’inverse, pour s’ouvrir, se découvrir). La parole recèle autant de terribles pièges que d’ouvertures bienfaisantes.
Racontons donc cette petite histoire avant quelques pensées-bibi et quelques aphorismes supplémentaires d’auteurs de renom mis en ligne sur Twitter…
Une courte histoire (drôle ?) avant de se risquer à d’autres paroles : Deux amis se croisent après de longues années et discutent à bâtons rompus : L’un : Comment ça va ? L’autre : Bof ! L’un : Les affaires, ça marche ? L’autre : Bof ! L’un : Et ta femme, comment va t-elle ? L’autre : Bof ! L’un : Et tes enfants ? L’autre : Bof ! L’un : Bon… ben, au revoir ! L’autre : Au revoir. Oh, c’est vrai qu’on se sent mieux après avoir parlé.
«Les Flèches de BiBi» sont de retour.
Toujours acérées, toujours lancés avec cette indicible douceur.
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Chaque jour, jour après Jour, des pensées nous traversent dont on ne sait d’où elles viennent, d’où elles partent, où elles vont mourir, chez qui – au mieux – elles continuent de vivre. Des pensées personnelles, proches, avec, au loin, les canons de la Guerre, des cris perdus, des chants retrouvés, des citations hagardes. Visites donc dans le Magasin des Mots et dans le Cul des Choses.
Invitation au Voyage dans le Territoire-BiBi des petites choses quotidiennes.