octobre 11, 2016
Bibi
Quelle magnifique expérience que la lecture de MANAGEMENT, revue des temps présents, mensuel de septembre 2016 où l’on puise d’excellentes informations sur les Nouveaux Dieux que sont les Capitaines d’Industrie, les Présidents de Club de Foot et tous les subalternes à leurs bottes. Ceux par exemple qu’on appelle les C.H.O., les Chief Happiness Officers.
MANAGEMENT, mais c’est que du B-O-N-H-E-U-R !
octobre 09, 2016
Bibi
Elles font écrire, ils font écrire.
Ils font aussi lire les textes qui ont été écrits. Ils les font chanter même. Rien, ni personne a quelque chose à prouver. Tout est plutôt à… trouver. Ils sont attentifs à ceux qui passent, à celles qui font halte. Aventure extrême pour chacun des visiteurs : chacun prend son élan, s’engage sur son chemin d’écriture, arpente le sentier de ses mots, trace un trajet singulier sur une page, sur dix lignes ou trois mots.
Eux, (Elles/ ils) ont ce désir étrange de faire écrire les autres : Elles/ ils, ce sont les animatrices et animateurs d’ateliers d’écriture. Elles/ ils sont en place… Place de la Victoire, à Clermont-Ferrand, en ce samedi 8 octobre.
septembre 30, 2016
Bibi
Dans une autre vie, je lisais beaucoup de polars. Plutôt des Séries Noires, de celles que collectionnait mon père. Puis mes lectures ont pris fin (de série) par ce simple désir d’aller voir d’autres écritures.
Aujourd’hui, par le biais d’une abonnée Twitter, me voilà en lecture d’un polar français, le dernier livre de Marie-Hélène Branciard #Jenaipasporteplainte (1). Pas sans importance ce titre en hashtag. Il vient dire en préambule la teneur et la tonalité du livre. Nous sommes immergés dans l’ère du Numérique, dans cette époque où les ordinateurs et autres smart-phones tournent à plein régime avec leurs codes d’entrée, leurs aficionados, leurs réseaux sociaux (Twitter, Facebook) visibles/ invisibles et leurs… dangers.
septembre 26, 2016
Bibi
J’aime bien répéter les commentaires et analyses de Georges Didi-Huberman à propos de l’image : «Il n’y a pas d’images qui, en soi, nous laisseraient muets, impuissants. Une image sur laquelle on ne peut rien dire, c’est en général une image qu’on n’a pas pris le temps — mais ce temps est long, il demande du courage, je le répète — de regarder attentivement. De se ré-inquiéter à chaque fois».
C’était hier sur Twitter, j’y ai découvert cette photo d’Hillary Clinton avec ses supportrices, cliché accompagné d’un tweet et commentaire de Raphaëlle Bacqué, journaliste au Monde.
septembre 19, 2016
Bibi
Naïf, pauvre imbécile que je suis. Malgré mes petites connaissances sur le monde des médias et de la presse, j’ai toujours cette illusion de croire qu’en Province, je vais enfin trouver des journaux qui sortent du ronron parisien et de l’orbite de la Pensée Unique (néo-libérale). Quel bonheur ce serait de trouver des journalistes, éditorialistes qui iraient me surprendre, journalistes indépendants, avec une touche d’originalité et bien éloignés des réseaux parisiens. Mais il m’a fallu hélas me rendre à l’évidence : pauvre con que je suis de croire encore à un Monde de Bisounours. C’est que la guerre (idéologique), elle est à Paris. Elle est aussi en Province.