Category Archives: Pensées très politiques

Et maintenant… que vais-je faire ?

Les temps du Quoi faire?, du Comment faire?, du Qu’y a t-il à faire? sont revenus. Le Pôv’ Con s’en est allé et le Changement, c’est – paraît-il – ici et maintenant. 

Ainsi va l’humeur changeante du Monde : entre la Victoire en doux bécots et la Mélancolie-Bécaud ramassée en une chanson.

Valérie Trierweiler et les autres.

Le tweet de Valérie Trierweiler est venu croiser ma lecture du moment : «Elles» de Jean-Bertrand Pontalis. Hasard objectif : en post-scriptum, je mets en ligne un de mes gazouillis qui répondait à une interrogation-Twitter de Bernard Pivot sur le Réseau Social.

Un gazouillis-offrande à… B., ma première Lectrice.

Gros cons et Union de la Gauche.

Le billet de Frédéric Lordon est un des textes que j’ai signalés sur mon compte Twitter. En le recommandant, je ne veux pas forcément dire qu’il recueille ma pleine adhésion. Le signaler c’est d’abord dire qu’il me met au travail, qu’il m’interroge, qu’il me pousse à construire et à affiner mes pensées et mes propres représentations du Monde.

VICTOIRE ! Sarkozy, Hortefeux, Guéant & Co expulsés !

Cinq ans qu’on attendait ça ! En 2007, devant les Médias aux Ordres, notre Cow-Boy, formé à l’École de Pasqua Balladur, galopait avec cette arrogance qu’il n’a jamais quittée. Depuis le début de cette Chevauchée, il nous aura fallu en supporter des infamies, des mensonges, et des coupes dans notre Pouvoir d’achat. Crions sans retenue notre joie « mauvaise» contre ce Petit Chef et son son quatuor d’épouvante (Guéant et ses obscénités, Brice de sinistre mémoire, Morano la Grande-Gueule et Woerth l’«Honnête Homme»). Bien sur, après-demain sera une autre histoire mais BiBi savoure ce soir cette expulsion méritée et retrace pour ses précieux lecteurs la Présidentielle de ces larbins UMP en… SÉRIE NOIRE…

Lettre à un déçu du Front de Gauche.

[Sur le Yéti, j’ai lu le billet d’un supporter de Mélenchon qui, déçu, ne veut pas aller voter pour François Hollande]

Le Réel est implacable.

Nos désirs, nos rêves ne s’accordent que très rarement au Réel. Pire même : le Réel parfois les balaye, les gomme cruellement sans le moindre souci, sans la plus petite compassion pour notre «honte», nos larmes, nos élans passionnels, nos espoirs légitimes. Il nous reste – comme toujours après ce genre de distorsion imprévisible – l’indispensable besoin d’analyse, le détour par la pensée de ce qui est.