Divergences mais sur une même longueur d’ondes.
Même longueur d’ondes
mais divergence.
Oui, c’est à propos de «Salopard».
Divergences mais sur une même longueur d’ondes.
Même longueur d’ondes
mais divergence.
Oui, c’est à propos de «Salopard».
Jean Quatremer, journaliste pantouflard à Bruxelles pour Libération, nous en a fait une belle ce week-end. Sans contrôler ses sources, sans daigner prendre le moindre recul, aveuglé par sa haine de Jean-Luc Mélenchon, il a posté un gazouillis qui allait faire un buzz (plus tard on dira «buzz factice» (1)). Ce tweet s’insurgeait contre le discours du leader du Front de Gauche dans lequel Monsieur Jean de Bruxelles avait repéré des «relents antisémites».
C’est un peu mon obsession : je relève souvent des chiffres pendant mes lectures de quotidiens. Ces chiffres passent souvent inaperçus alors qu’ils disent – pour moi – certaines vérités sur le Monde et l’état du Monde. C’est d’abord en Tunisie et en Egypte que je vous emmène pour un voyage pas forcément touristique avant de vous faire ré-atterrir en France pour dates et chiffres autour d’ami(e)s socialistes.
On sait de quel poids peuvent peser les mots dans une trajectoire humaine. Un mot de travers, un mot blessant peuvent orienter toute une vie. Mais les mots ont aussi leur poids et une résonance considérable dans le champ social, politique et… syndical.
Voici quelques tweets-BiBi mis en ligne sur le réseau social :
L’affaire #Findus ne manque pas de selle.
Que le Cheval de #Findus se prenne pour un boeuf, je trouve sabot.
Il parait que les lasagnes #Findus donneraient une fièvre de cheval.
Pour #Findus, manger du cheval fait un effet-boeuf.
Je ne mettrais plus de produits #Findus sur l’étable.
#Findus « Mieux vaut manger du cheval une journée que bouffer de la vache enragée toute l’année »
Ben oui…
Faire des jeux de mots sur #Findus, c’est mon dada.