Category Archives: Pensées très politiques

Trierweiler, Trierweiler, Trierweiler, les blogs et Twitter.

parodie-trierweiler-inrocks

Je n’ai pas lu le livre de Valérie Trierweiler.

J’ai plutôt profité de ce temps libre pour parcourir et m’attarder sur ce qui s’est écrit sur le Net (Blogs et Tweets) et dans quelques journaux à ce propos.

Plantons le décor en deux tweets. L’un est une parfaite analyse condensée de Christian Salmon : «Seule révélation de Trierweiler  : Quand la politique renonce à changer le monde, elle s’enlise dans le Storytelling». Le second est de Marie-Anne Paveau qui relève posément et justement les effets de cette Storytelling sur le fil Twitter: « ‏@mapav8  : «Le fil #trierweiler est d’une telle violence, elle doit finalement en toucher des choses, cette femme».

Du feuilleton politique (Cécile, Arnaud, Manuel et les autres)

Gauche

Quand les états d’âme du personnage de Goya entouré d’oiseaux de nuit, oiseaux du malheur, fondent sur vous, que faire devant ce présent politique français chargé de répulsions et d’interrogations ?

Chacun tente bien entendu de trouver des portes de sortie, des couloirs d’oxygène, une chambre de réanimation. Citoyen penché sur la récente vie politique française, je suis tour à tour éberlué, désespéré, enragé. Seule chose à faire pour remonter en surface de façon plus apaisée : me soigner à la bibliothérapie, trouver des féconds points d’accueils dans le travail de lectures, par exemple dans celle des livres de Christian Salmon.

Conseil de voyage à Mme Trierweiler: après Ouistreham, Vichy ?

Valtrier 2

Ce mercredi 20 août, un curieux tweet est venu se déposer sur mon écran. Il arrivait tout droit de Madame Valérie Trierweiler @valtrier, l’ex-«Première Dame» de France.

C’est nous qu’on va gagner ?

 On ne lâche rien

J’entends qu’«On ne lâche rien», j’entends que «Notre heure viendra, on ne sait pas quand mais elle viendra». Je lis les tweets du futur Bonheur révolutionnaire qui s’avance, inéluctable. Toujours cet étonnement-bibi devant les cris des camarades enthousiastes.

Billet 1400 : « Le libéralisme, la Gauche et moi ».

1400

1400 billets depuis que j’ai ouvert mon blog en mars 2008.

C’est presque par hasard que je suis tombé sur ce nombre. En relisant mon premier souhait de blogueur d’alors (mars 2008), j’ai été plutôt content d’avoir gardé toujours ce même désir (leurre nécessaire) dans mes billets: «que les Esclaves acceptent un peu moins leur servitude, que les Damnés de la Terre souscrivent un peu moins à leur propre domination sociale». (Pierre Bourdieu).

OK, applaudissez-moi sauf que… j’ai tort de ne m’en tenir qu’à ce désir particulier. Non qu’il soit faux (il est de première nécessité) mais il peut donner à penser que mes états d’âme n’auraient à être lus que dans un rapport d’extériorité avec le Monde. Bref que je me poserais en donneur de leçons.

Or, dans ce Monde, j’y suis. Et pas qu’un peu. J’y suis… et jusqu’au cou. Et je rajoute que vraiment vraiment je ne suis pas au clair en cette période troublée. 

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