Category Archives: BiBi en voyages

Ils détruisent le Souk d’Alep.

Photos-BiBi.

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«Au cœur des poèmes d’Homère se trouve le souvenir d’un des plus grands désastres qui puissent s’abattre sur des hommes : la destruction d’une Cité. Sa Cité détruite, l’homme est condamné à errer de par le Monde ou à vivre sur la terre nue, retournant ainsi dans une certaine mesure à la condition des bêtes ». Georges Steiner. Langage et Silence. Editions du Seuil. 1967.

AH, LES BELLES VACANCES !

C’est souvent au cours de l’été que les différences de classe s’exacerbent. Il y a ceux qui partent en vacances et il y a ceux qui restent. Le Front Populaire avait abrégé les vacances des 200 familles d’Aristocrates pour leur imposer les Congés payés. Mais tout cela est depuis longtemps révolu. Les Riches en reprennent à leurs aises et en oublient même leurs promesses (publicitaires). Pas encore parti (pour Cuba), BiBi a planché sur les Vacances du petit et du grand Monde.

Rencontres et dialogues éphémères sur Twitter.

Ainsi vont les dialogues sur Twitter. Je croise des gens, de drôles de gens, des gens moins drôles, des accros aux Gazouillis, des intérimaires et des CDI. Résumé des rencontres éphémères (et durables).

Photographies Capitale (BiBi in Paris).

 Une Semaine à Paris. Sans Net, sans Twitter. BiBi aime cette vacance de la Capitale où il se laisse bercer par les sonorités insolites : ça parle spanish, anglais, rubbish, italiano et joual. Parfois, on se demande d’où viennent ces étranges Étrangers ? Que font-ils ? Où sont-ils le reste de leurs années perdues ? Bien sûr, il reste les éternels paumés qui tendent la main au Carrefour de la Charité. Ils parlent roumains avec leurs accordéons, ils chantent à tue-tête dans les cours et les coins de rue… pendant que Valls les inscrit sur ses carnets de Vol, prêt à les mettre au violon.

Blog-notes : entre vieilleries et Nouveauté.

Ecrire le même billet, refaire ce que l’on a fait, ressasser la même idée Ad Vitam aeternam : ces projets d’écriture programmée sont-ils à fuir ? Et peut-on y échapper ? Car écrire, c’est aussi insister, creuser le même filon, tailler (polir) et retailler les mêmes mots, les mêmes idées, s’attaquer aux mêmes branches afin de garantir – sans garantie aucune – la nouveauté et la beauté du fruit à venir (…)