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Comme l’écrivait Vincent Van Gogh à son frère : « Il faut vivre musicalement ». On laissera Mozart, Haydn, Dvorak de côté. On laissera les guitaristes (d’Hendrix à Paco De Lucia) de côté. On ne parlera ni de Janis Joplin, ni de Dylan, ni de Springsteen, ni du Floyd ou des Stones. Ne viendront ici que des instantanés musicaux, des petites pièces qui vous font chavirer, qui vous emportent, qui vous font rêver. Douceurs éphémères d’une nuit tropicale. Echos des silences de montagnes. Tout se mélange pour nous porter à l’étonnement climatique, à la surprise inouïe.
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