Ouezzane (Maroc) : retour sur la rue des Ecoles.
BiBi a toujours aimé cette phrase d’Antonin Artaud : » Comme le Monde a sa géographie, l’Homme intérieur a sa géographie qui est une chose matérielle« . Aujourd’hui, c’est Ouezzane (ou Ouazzane) cette ville du Rif marocain qui s’impose…
« En revenant dans la rue des Ecoles, rue de mon enfance, je m’étais attendu à voir une rue sous un soleil de plomb, des arbres vieillissants mais encore costauds, des arbres debout ayant gardé leurs intervalles sur le bord du trottoir mais la rue avait changé.
J’avais surtout gardé le souvenir aigu de cet arbre solitaire, coupé court avec ces nœuds concentriques sur le tronc qui rappelaient un sexe féminin mais en avais-je claire conscience à cette époque ? Sûrement pas mais j’avais retenu son dessin, son écorce ouverte, cet entrelacs de courbes creusées dans le bois tendre. Il y avait aussi ces deux vieux garages attenants, aux tôles ondulées, alignés côte à côte dans le renfoncement de la rue, deux enclaves qui servaient de cages de football. D’ailleurs le ballon est encore là, il va d’un but à l’autre sur ce terrain limité par la rue qui le coupe en deux. On s’arrêtait rarement dans la partie car il n’y avait pas beaucoup de voitures ou alors elles passaient sans vraiment que la partie ne s’interrompe. De ces jours, je ne crois pas avoir tellement aimé les jeux avec ballons. Une seule idée me reste en tête tandis que je remonte et descends la rue tant d’années après, c’est le constat du fabuleux pied gauche de mon frère qui aurait pu facilement devenir professionnel mais trouver à cette époque un manager ou un agent qui le prît sous son aile tenait de l’impossible.
Pour sortir de la ville, il fallait passer des montagnes désertes, traverser des champs inhabités, se préserver de la poussière soulevée par le chergui, ce vent local au souffle chaud. Nul n’imaginait que nous pouvions vivre ailleurs…
Ouezzane était le Monde, un Monde concentré, avec ses espagnols, ses juifs marocains, ses arabes, ses algériens, ses grecs. Comment aussi oublier cet hôtel et sa vieille marquise devant lesquels je passais souvent à bicyclette (j’y avais vu une fille du Treize, accoudée à la fenêtre. J’étais retourné aussitôt chez moi pour chercher et trouver quel était donc le numéro de ce département français) ? Et comment ne pas se souvenir encore de cette église très moderne, au bout du square rectangulaire avec ses deux allées et ses contre-allées, de cette église anachronique qui laisse place aujourd’hui à une mosquée à moitié construite, mosquée qui attend l’argent des fidèles pour en finir avec son minaret.
Je vivais dans ce monde, il n’y en avait pas d’autre. Sur ce mince territoire qui englobait un bout de la zone du souk et tout le quartier européanisé, tout du Monde était là. Je garde l’impression que ce qui venait d’ailleurs était déjà là. Tout à côté, il y avait à Asjen un pèlerinage annuel des juifs du Monde entier venus rendre hommage à Rabbi Amrane Ben Diwan et à l’autre bout de la ville, sur le Jbel Bou Hellal, des hommages réguliers à Sidi Ben Chrif et aux Saints des Saints.
J’étais content lorsque je rencontrais des étrangers car c’était l’occasion de leur faire voir ce que nous avions. Et là, sans contestation possible, la nouveauté était pour eux. Nous écoutions sur le Normende les matches du Real et du Benfica, on était abonné à Tout l’Univers, à Spirou et à Miroir-Sprint, le magazine sépia que je dévorais dès que mon père en avait fini la lecture. J’appris confusément la mort d’une grande chanteuse, celle d’Edith Piaf le jour même du décès conjoint de Jean Cocteau. Ces noms ne me disaient rien, j’ai cru qu’ils étaient de ma famille tellement la peine était grande autour de moi. Est-ce à cet instant-là que j’eus conscience que nous étions – que j’étais – mortels et qu’il me fallait dans cette vie-ci prendre soin de mon corps même s’il n’était pas – surtout s’il n’était – pas malade ?
J’étais dans la voiture des amis de mon père lorsque nous avons appris ce double décès. Nous descendions au terrain de volley-ball, l’activité sportive nocturne qui réunissait les différents mondes sous des projecteurs de fortune (à l’exclusion des pauvres du Souk). Le troisième décès tout aussi important fut celui du Président Kennedy. Mais l’Amérique pour moi, c’était un pays imaginaire, le pays des westerns et des films noirs de Ciné-club, films que Monsieur Bitton, chauffeur de car Rabat-Ouezzane, déposait à la porte de l’entreprise paternelle située au bout de la grande Place de l’Indépendance, antichambre du Souk et du lacis de ses ruelles. Depuis, Kirk Douglas, James Stewart, Richard Widmark et Steve MacQueen sont restés mes amis.
Pas un endroit au monde qui ne fut mieux informé que ce coin du Rif. Oui, c’étaient les étrangers qui avaient à apprendre en arrivant à Ouezzane ».
Bonsoir la communauté BIBI,
En relisant les messages : Montulet habitait pas bien loin du « Bar Tout Va Bien » de mes parents.
Gucciardi a longtemps été mon compagnon de chasse avec Uritygoïti (j’ai acheté le fusil à Gucciardi Père).
Quand au fils ainé Gucciardi (Jean-Louis ?)il a été prof d’atelier à Ouezzane en 64 ou 65.
Vallet était apparenté à Guicciardi père.
C’est fou combien les souvenirs reviennent …et combien j’aimerai renouer et avoir des photos…
Cordialement
jean-pierrehadjelis@orange.fr
@Hadjelis
Hélas peu de photos de mon côté. Les Gucciardi étaient nos voisins. Chez les Vallet, il y avait un garçon et une fille (Marie-Ange). Chez Madame Montulet, j’ai fait deux années de danse. En haut de la côte qui menait plus loin au « Cinéma ».
Cordialement.
Cher Bibi,
En citant Gucciardi, Vallet,…tu as dû connaître Quintin ? qui habitaient ce qui avait été le presbitaire de l’église de la « ville nouvelle ».
Cordialement, encore et toujours merci pour ce que tu fais.
@Hadjelis
Sur FaceBook un certain Laurent Quintin Joaquin m’a envoyé un message, fils probable de Mr Quintin, professeur si je me souviens bien à Ouezzane.
Beaumont Sabine bonjour ,je ne suis pas de vos générations mais CHarles Desmarest est mon arrière grand père , vous avais peut être connu René desmarest mon grand père et Patrick desmarest mon pére, je sais ils sont parti en 65 . cordialement Desmarest Matthieu
@Beaumont Sabine
Désolé Sabine mais le nom de votre père/grand-père/arrière grand père ne me dit rien. Mais peut-être aurez-vous des réponses ici même dans mon blog. Je vous le souhaite.
Mr. Quentin était mon directeur et Mr.Hadjelis était mon prof dans l’atelier de mécanique collège My Abdellah cherif dans les années 60 belle époque
@Tarchouli
Bienvenue sur la Page Ouezzane ! 🙂
Bonjour Tarchouli Abderrahim,
Qu’es-tu devenu ?, es-tu toujours à Ouezzane ? je devrai avoir une photo de classe…
Le chef des travaux Monsieur Quintin est décédé en 1992,…je ne l’ai vu que sur son lit de mort.
Au plaisir de te lire à mon adresse courriel jean-pierrehadjelis@orange.fr
bonjour a tous qui se rappelle de moi mes parents avaient l’hôtel rsto place du souk adjelis guyard montulet ramos et bien d’autre merci de repondre
message destiné a DAHAN Rachel
bonjours suis pierre Acquaviva je n’ai revu que colette guyard qui est mariée avec un medecin a paris
a tous voici mon adresse mail pour me contacter
pe.acquaviva@free.fr
Bonjour Pierre,
Content de te lire …je te vois toujours au volant d’une traction avant…souvenirs, souvenirs.
Concernant Colette Guyard, j’ai vainement tenté de connaitre son mail via sa petite sœur Nicole mais RIEN RIEN silence complet…j’avais bavardé quelques secondes avec elle à Paris et une autre fois, toujours à Paris avec Nicole…quelques secondes.
par mail je t’ai communiqué mes n° de téléphones, tu peux me laisser un SMS ou répondre par mail.
A bientôt.
Cordialement.
Salut monsieur HADJILIS EST CE QUE MONSIEUR NICOLA EST VOTRE PÈRE QUI AVAIT LE BAR. AU QUARTIER. LAADIR EN FACE DE L ÉGLISES.
JE CONNAÎT MR. NICOLA , MONSIEUR QUINTIN MR NOTE MR GALBAS MR CONT. MR ROGER. MR GUILLOT ME BEN MIER SA FILLE MALIKA ET SON FILS MICHEL
SII VOUS M ENVOYEZ VOTRE N DE TÉLÉPHONE ET MERCI
JE VAIS VOUS ENVOYER DES PHOTOS D OUEZZANE. PAR EMAIL A BIEN TÔT
Monsieur. HADELIS VOIR OUAZZANE DES ANNES 1926
BiBi a reçu ce mail destiné à Monsieur Tezgani.
Envoyé par jean-pierrehadjelis@orange.fr
Bonjour Tezgani,
Qui êtes vous ?
Le septuagénaire que je suis…reçoit quelques mail de souvenirs…
Et oui je suis le fils Nicolas ou du Grec qui tenait le « Bar Tout Va Bien » à Ouezzane.
L’immeuble a été détruit pour en reconstruire un nouveau ; d’habitations je crois.
Monsieur Quintin ? est décédé en 1992.
Monsieur De Galbas ? nous l’avons revu quelques fois. Il est décédé depuis bien longtemps.
Monsieur Conte ? j’ai eu un mail d’un gendre à Monsieur Conte
Monsieur Roger ? je suppose qu’il s’agit du coiffeur, Monsieur Guyard
Monsieur Guillot ? était il l’époux de Malika ?. Après son mariage nous étions voisins directs.
Malika née Banmeyer et son frère ? des nouvelles contradictoires les concernant peut être un ancien Ouazani pourra t-il nous donner de leurs nouvelles ?.
Si vous avez été un judoka à la salle « des tabacs » vous avez connu Monsieur Lefèvre avec qui je suis en relation téléphonique.
Tezgani, vous me renvoyez à une époque où je n’étais pas né où mes parents n’habitaient pas encore Ouezzane…merci de m’avoir communiqué ce passé d’Ouezzane.
Au plaisir de vous lire, à bientôt.
Cordialement.
Un message de Jean-Pierre Hadjelis ce 3 juillet 2015.
Salut Bibi,
J’ai reçu un faire-part de Martine m’anonçant le décès de son mari, Jeannot
Paccioni.
Elle est encore sans énergie pour surmonter ce décès, voudras-tu le
communiquer sur ta boite ? »
BibI : « Volontiers mais je ne crois pas avoir connu Monsieur J.Paccioni ».
Je ne sais pas si mon message arrivera, en tout cas je suis aussi une ouezzani
(,née en 1950) et suis la sœur de Guy GUENO qui était instituteur,
Nous allons d’ailleurs aller à Ouezzane cet été ( au mois d’août).
Bonjour « la sœur à Guy-Marcel » nous avions eu des nouvelles de vous deux grâce à Guy-Marcel et savions que vous aviez acheté une maison au Maroc dans un village où d’ailleurs a vécu quelques années Jeannot Paccioni.
Nous pourrions reparler d’Ouezzane avec plaisir…si tu laissais une adresse courriel.
Vous verrez qu’entre autres l’immeuble du Bar-tout-va-bien a été reconstruit…Corrdialement au plaisir d’échanger des souvenirs.
Salam pour tous les anciens ouazzani français Soyez les bienvenus dans votre ville ouazzan
Bonjour Jeannot Hadjelis.
Souvenirs, souvenirs,
Effectivement nous avons acheté une maison a Tetouan avec ma sœur , qui est une ville de 500000habitants qui était sous protectorat espagnol) .
Une belle ville avec un beau charme espagnol.
Nous allons aller cette année faire un tour a Ouezzane avec notre frère Guy.
Merci de ton message.
Je n’ai sûrement pas les mêmes souvenirs que toi car je crois que tu es de la génération de mon frère.
Pour le contact, je préfère que tu demande a Bibi . Merci
Amitiés.
Bonsoir,
Merci pour cette réponse ; effectivement vous étiez les p’tites sœurs à Guy-Marcel… mais beaucoup trop jeunes pour avoir des activités avec les déjà vieux que nous étions… avant de devenir très vieux, ce que nous sommes aujourd’hui.
Vous étiez plutôt de la génération des jeunes Lorenzo…vos voisins je crois me souvenir ?. Cordialement.
Bonsoir
En tout cas , c’est très sympa malgré tout de retrouver des amis d’enfance de Ouezzane
Merci de ton message.
Amicalement
j’ai vu un message de Nicole guyard j’ai essayé depuis mon départ de Ouezzane d’avoir des adresses impossible nicole puis avoir des nouvelles de michel ton frere mon grand copain de ta sœur colette christiane je l’ai vu une fois à paris j’avais son adresse
Ma sœur ton institutrice habite dans les pyrennée atlantique à Esquiule son mari est décédé il y a 5a.j’habite Bastia
pour me contacter
pe.acquaviva@free.fr
Ouezzane ou je suis né , français musulman d Algérie…Je fus inscrit en C E 1 à l école primaire du quartier haddadines..je me souviens il y avait 2 classes pour les juifs , et 2 classes pour les arabes.. j étais le seul algérien dans cette école.. tous les algériens étaient à l école européenne d el adire.. j étais un petit garçon timide et renfermé , les camarades marocaines me battaient , je courait vers les juifs et juives , qui étaient la debout ..les juifs m ont vu venir , ils m ont ouvert un passage . je suis entré ..ils ont fermé le passage .. et je suis rester la… et pendant les récréations je jouais pas , je restais avec les juifs , qui m ont protéger pendant mes 02 années scolaires.. des années perdus , en entrant en Algérie je recommence par le c p 1…. à rotha , à titi , à jaques , à yaho , à makhelouf , je penses à vous .. et je vous aimes , et j aimerai les juifs pour la vie jusqu à la mort.. mes fréres et soueurs etaient heureux à l ecole européenne . moi j avais souffert le calvaire.. l indépondance de L Algérie a été ma fuite , ouezzane m a fait trops pleuré , je ne garde que de mauvais souvenirs.. mmon pére m avais inscrit à l école de l enfer..je n y retournerai jamais à ouezzane..
j ai fais une faute , ( je fus inscrit au c p 1 ) école primaire du quartier haddadines
@ben-heria
Merci pour votre témoignage.
J’étais à l’école « européenne » pour ma part avec ses cinquante élèves et plus par classe. Dans les classes traversées, il y avait des marocains, des juifs marocains, des Européens (espagnols, grecs, français). Baîgné dans cette atmosphère, je n’ai jamais su ce qu’était le racisme. Les seuls accrochages qui avaient lieu dans la cour (selon mes souvenirs) avaient lieu entre les frères algériens et marocains.
Bonjour Ben-Heria,
Je découvre ton message ; incompréhensible pour moi.
A l’école de la « ville nouvelle » nous ne savions pas que nous avions des origines ou des religions différentes, nous étions des enfants qui vivions ensembles en classe, dans la cour de récréation, au sport ou à jardiner ; c’était avec Monsieur Michel Drillon vers 1950.
Nos activités ludiques entre copains étaient le jeu de billes, le vélo, les balades au Bou Hellal,…les filles ?…
Cordialement.
Bonjour à tous les ouazzanis du monde, je suis né à ouazzane et dans les années 50 et 60 marocains français juifs espagnols et meme algériens vivaient dans une harmonie complète. Des chamailleries ont toujours existé entre enfants et ça par tout,belle époque d’insouciance.
@abderrahim
Une belle époque d’insouciance où nous jouions dans la cour d’école sans distinction de nationalités et de religions.
Et j’écris cela sans enjoliver le passé.
Hélas les temps ont changé.
je peux pas piffer les gens qui incorpore la religion à quoi que ce soit.. j ai parlé de moi , des mes camarades marocains , et des juifs … chacun sa destinée.. l école primaire du quartier haddadine d ouezzane c était pas ma place.. je coure et il pleut la pluie du monde qui tombe sur cette cour en terrain vagues.. mes chaussures pleines la boue se collent au sol. les juifs me regardent avec des yeux qui m encouragent a courire plus vite , mes assaillants sont 8 camarades marocains me poursuivent . j ai pas dit ( des marocains musulmans , ni arabes , j ai dis des marocains , ..
mouillé par la pluie , je tremble de froid ? ou de peur , en classe je pisse dans mon froc , mes camarades marocains se mettent a crier ( mou3alime b….. bale fi seroualahe ). cauchemar , concierge et directeur vont venir . le directeur me met la cane autour du cou , et me tire comme un chien. et me jette à la rue. est ce que j ai parlé de religion ? . les juifs sont, la dans mes souvenirs , je les revois , ils sont la debout a regarder ce qui se passe en face d eux , comme moi ils jouent pas , ils parlent pas , ils sont beaux , et belles , . ils ont la tete pleine de palistine. comme moi j ai la tete pleine de mon algérie ? .. le mois d ouat 1962 , j ai a peine 7 ans et quelques , je quitte ouezzane sans regarder derriere moi. je quitte oujda , pour maghnia , mon algerie , il est c est beau mon algerie , d interminables de champs de vignes. des lacs , des rivieres , des oueds , c est plus beau que la beatée elle meme.. je me trouve à oran la plus belle ville d afrique apres joanhansburg en afrique du sud. oran ville a moitié vide , ou les hirondelles par centaines au printemps survolent le ciel.. assis sur un banc à la place des armes , ébahi , fasciné , eblouie à regarder la statue de la liberté , sur les murs c est écrit des slogans ( algerie française pour l éternitée ) ( oas vaicra ) ( votez f l n ) et et et ,, je vais vers le mur et je repasse mon doigt sur ce qui écrit sur ce mur , qui est triste comme moi. mes petits voisins de mon age arabes et kabyles , vont me recevoire a bras ouverts , ils vont m aimer trés fort . mes années scolaires à ouezzane vont me marqué à vie.
J’étais à l’école française de làadir en
1956 j’aimerai avoir des nouvelles de Gueno Françoise , de Lorenzo Marie Jeanne de Eliane Beaudry et Ciryl Montulet .
J’ai gardè de très bon souvenir
Bisous à tous â très bientõt
Soussi,
Puissent tous ces anciennes connaissances t’entendre (et/ou lire ton commentaire)et te répondre.
J’ai oubliè de mentionner que je suis une Marocaine née à Ouazzane je suis allée jusqu’au CM2 j’ai passé l’entrée en 6ème au lycée Omar Khayam à Rabat .
J’aimerai retrouver également Marie Des Anges qui était espagnol et qui était avec moi à la Mission école Française de lâadir Ouazzane
Bonsoir BIBI et merçi
Bonjour Soussi Bahija ,
Je viens de lire votre message :
Je suis Francoise Gueno , mais je n’ai plus de nouvelles de mes amies de l’ecole primaire de Ouezzane , je suis allee ensuite en 6e au lycee de jeunes filles a Rabat devenu le lycee Lalla Aicha ensuite.
Je suis rentree enFrance en 1963 pour poursuivre mes etudes.
J’ai fait des etudes d’Infirmiere apres avoir travaille pendant 40 ans, je suis maintenant en retraite .
Et vous .?
coucou à tous les OUEZZANIS,
une bonne et heureuse année à tous et plein de bonheur
@JC Ramos
Oui bien sur, une bonne et heureuse année à vous et à tous/toutes les ami(e)s de Ouezzane. Qu’ils me suivent ici. Et qui restent dans mon coeur.
suis a la la recherche de mon copain d’enfance jean claude Ramos e de michel guyard
Bonsoir Françoise bonne et heureuse année avec pleine de bonne chose.
Je viens de voir ton message ça m’a fait énormément plaisir.
Je suis en contact avec Fouzia Mehdi
Elle est resté amie avec Nicole Guyard qui était avec elle à Marrakech . Elle m’ont télephoné
Voiçi m
Voici mon numéro de tel 0661370625
Bonsoir BIBI bonne et heureuse année avec une très bonne santé
Et à tous les Ouazzani
Soussi Bahija
Rebonsoir Guenot Françoise
Après Ouazzane je suis allée m’installer à Casablanca et j’ai travaillé à Royal Air Maroc pendant 20 ans j’ai beaucoup voyagé
J’ai pris ma retraite, mais j’ai gardé tous les avantages sociaux.
Parmi ces avantages , c’est les billets gratuits
Soussi Bahija
Malika Ben Meyer est installée à Paris malheureusement j’ai perdu mon cellulaire. Donc plus de numéro de téléphone de Malika
Henri QUEYROI a écrit un mail que je retranscris ici pour tous ceux/celles qui sont de Ouezzane (ou y ont vécu).
Bonjour à tous.
« Je suis toujours avec attention tous les commentaires car je suis un ancien de Ouezzane, mais je ne prends pas souvent la plume.
Je le fais aujourd’hui pour souhaiter une bonne année 2016 et une bonne santé à tout le monde.
Que la force soit avec vous (facile 😉 !!).
Pour me situer, je dirai que j’ai suivi ma scolarité primaire à Ouezzane de 1948 à 1951 et que mon père était le chef du poste de
police de Ouezzane.
Cordialement
Henri QUEYROI »
Bonjour à tous,
Henri Keyroi ? êtes vous l’un des deux frères qui habitiez à mi-parcours ville nouvelle/ville ancienne ? qui aviez des patins à roulettes, qui jouaient avec les rubans de souffre…aviez un copain « Jeannot » ?.
à pierre acquaviva
je t ai envoyé un mot sur ta boite mail trouvée plus haut
trop content de te retrouver
jc ramos
et un grand merci à BIBI pour nous aider à retyrouver des amis de Ouezzane
Je vous souhaite a tous une belle annee de Sante , bonheur ainsi qu’ a vos famille.
Amities ouezzanis.
merci pour les voeux à mon tour de souhaiter les mêmes
pace e salute ‘( paix et santé)
Bonjour Gueno Françoise
J’aimerai avoir ton numéro de téléphone pour que je puisse t’appeler.
Je serai ravie de te revoir au Maroc
Et je t’invite à venir chez moi à Marrakech .
Pur hasard je me retrouve voisine avec Fouzia Mehdi dans un Golf
Elle était avec nous en classe
J’espère te lire très prochainement