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Conseil d’ami.
Dans son livre (« Leurs femmes » Editions Robert Laffont), Elisabeth Chavelet rapporte ce conseil donné par Nicolas Sarkozy à Luc Ferry (page 40) : « Sache que si tu ne travailles pas avec ta femme, ton couple est foutu. Pendant la journée, tu ne la verras pas et le soir, si elle n’est pas impliquée, vous n’aurez plus rien à vous raconter ». C’est surtout Eric Woerth, en grand serviteur du Maitre, qui a suivi le conseil.
Conseil de Psychologie.
Dans le même livre, Perla Servan-Schreiber, directrice de développement du Magazine Psychologies du Frère Lagardère, insiste : «Dans le couple moderne, c’est bien que la femme s’intéresse à son mari. Si Sarko était ministre de l’Agriculture, personne ne serait offusqué que sa femme aille visiter les exploitations agricoles et se faire filmer dans les champs de blé et de coquelicots ». Florence Woerth, elle, a suivi son mari dans les champs de courses de Chantilly et les champs de blé (de beaucoup de blé) de Liliane Bettencourt.
Les Supporters des Reporters.
Une lectrice du journal «La Décroissance» nous apprend que l’album de « Reporters sans Frontières » paru ce dernier mois a comme partenaires : HSBC, EDF, la FNAC, Shell, le Frère Lagardère, Toyota, Orange entre autres. Une course aux Sponsors bien au-delà de nos frontières.
Pierre Menès
Le nouveau journaliste de Canal Foot a droit à une demi-page dans le Monde. Pourquoi pas ? Il y a eu pire. «Il faut l’avoir vu au Mondial 2002 faire les 400 coups avec Laurent Blanc, tailler le bout de gras avec Barthez pour comprendre qu’avec lui, le journalisme sportif est entré dans une autre ère où les frontières sont bien poreuses et la ligne jaune éthique parfois franchie». BiBi imagine bien les nouveaux journalistes de France-Télévision tailler le bout de gras avec Lance Armstrong autour d’un pot (belge) par exemple. Mais où va-t-on être… menés avec ce journalisme-là ?
SAS De Villiers.
Gérard de Villiers, homme de la Droite dure et marchand des SAS, a droit à une page entière du Figaro. On y cite ses meilleurs lecteurs très à la page : Claude Lanzmann et Bernard-Henri Lévy. Il paraît que Gérard de Villiers se nourrit d’actualité pour pondre ses chef-d’œuvre. Par exemple, il connaît très bien le Pakistan. BiBi lui suggère le titre de son prochain titre : «Les Onze morts de Karachi».
SOS De Villiers.
Dans le même article, on apprend qu’en 2004, la femme du bonhomme l’avait attaqué pour «violence, menace de mort et harcèlement téléphonique». Mais depuis, tout est rentré dans l’ordre : Madame a préféré effacer le SOS Femmes battues pour le Winner SAS.
Gestion et Digestion.
Martin d’Orgeval, un photographe très proche de François-Marie Banier et de Liliane Bettencourt, avait consigné à la date du 30 janvier 2008 : « Liliane reçoit le Ministre du budget à dîner Eric Woerth ». Le repas se passait dans un hôtel particulier de Neuilly. Allez, Eric ! Remets-toi à table et compte-nous tout par le Menu.
J’ai eu mon époque SAS. Cela m’aidait à passer le temps quand celui-ci n’était pas spécialement excitant. C’est que l’on appelle des romans de gare. La recette est toujours la même recopiée à l’infini, avec son lot de pornographie bon marché et ses pubs pour les marques préférées de l’auteur. Personne n’est bien sûr obligé de les lire.
Il y a néanmoins une légende qui court et qui voudrait qu’effectivement G. de Villiers connaisse très bien les pays dans lesquels se passe l’action qu’il décrit. C’est ainsi qu’il y a plusieurs années, dans l’un de ses romans qui se déroulait en Iran, l’un des personnages (Malko ?) dégustait du caviar à l’aéroport en buvant … de la vodka ! Quiconque a mis un pied en Iran sait que depuis 1979, il est absolument impossible d’y trouver (officiellement) de l’alcool et qu’à fortiori on ne vous en servira pas à l’aéroport !
Tout ça pour dire que ceux qui lisent ce genre de bouquin doivent assumer sans chercher à se réfugier derrière des justifications fumeuses
@ RST
SAS c’est souvent nullissime. BiBi préfère la Série Noire. Autrement dit, SAS c’est R.A.S.
SAS pour les femmes, c’est de la « gnognotte »
Et les jeunes filles, ça les traumatise.
Il y en avait pas mal à la bibliothèque de l’usine de mon enfance
Qui choisissait les livres?
Les femmes des directeurs nous faisaient le catéchisme aussi
Il fallait évangéliser ses petits barbares » sûrement!
Bises à Bibi et à ses amis.